Le retour attendu de « F(ê)aites de la Danse » à Monaco !

Suite au succès inattendu de la première édition de F(ê)aites de la Danse en juillet 2017, l’événement va être reconduit en 2020, pour ensuite devenir un rendez-vous régulier. Pour la plus grande joie des amateurs du dancefloor !

Les 1^er et 2 juillet 2017, le chorégraphe des Ballets de Monte-Carlo, Jean-Christophe Maillot, avait créé l’événement F(ê)aites de la Danse à Monaco, en collaboration avec le Gouvernement Princier et la Société des Bains de Mer de Monte-Carlo. Sans se douter que cela aurait un tel retentissement. Il s’agissait alors d’un immense plateau de danse à ciel ouvert autour de la Place du Casino où, pendant huit heures, 250 artistes, des danseurs professionnels ou amateurs, avaient donné rendez-vous au public pour danser, tout simplement. Marathon de six heures, barre de danse, spectacles, hip hop, danses de salon ou du monde, il y en avait pour tous les goûts. Les organisateurs attendaient 5 000 personnes maximum, il y en aura finalement plus de 28 000… Un succès aussi vertigineux ne pouvait rester sans suite. Et à la demande générale, il y en aura bien une, même s’il va falloir s’armer d’un peu de patience pour revêtir ses habits de lumière.

Un événement qui reviendra tous les deux ans

En effet, la seconde édition de F(ê)aites de la Danse aura lieu en juillet 2020. La compagnie des Ballets de Monte Carlo a déjà des engagements sur 2019, notamment une tournée internationale. Mais promis, la Place du Casino accueillera la seconde fête qui sera ensuite renouvelée tous les deux ans. Et la formule sera identique à la première. D’ailleurs, pourquoi vouloir changer ce qui fonctionne, aussi bien et aussi spontanément ? Il y aura toutefois quelques ajustements ici ou là : un marathon de danse porté à 24 heures au lieu de six, un défilé du port à la place, des écrans géants encore plus grands… Le tout, avec un niveau de sécurité maximal, comme lors de la première édition qui n’a eu à déplorer aucun incident. Rendez-vous est donc pris à 2020. C’est presque déjà demain.