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Brève

Le Prince Albert II inaugure la branche Amérique latine de sa Fondation à São Paulo

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Depuis sa création en 2006, la Fondation a déjà soutenu vingt-quatre projets dans dix pays d'Amérique latine © Michael Alesi - Palais Princier

Après avoir participé à l’ouverture de la COP30 à Belém, le Prince Albert II a officialisé vendredi 7 novembre la création du onzième bureau international de sa Fondation.

La résidence d’Arnoldo Wald, consul honoraire de Monaco au Brésil et président de la nouvelle branche, a accueilli la cérémonie officielle. Cinq cents personnalités issues des milieux diplomatiques, scientifiques, philanthropiques et de la société civile ont assisté à l’événement.

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© Michael Alesi – Palais Princier

Arnoldo Wald a rendu hommage à l’engagement du Souverain pour la sauvegarde de la planète. « Le Brésil abrite environ 20% de la biodiversité mondiale. Il possède des mers, des rivières et des forêts comme l’Amazonie, ainsi que des biomes comme le Pantanal qui génèrent les plus grands stocks de crédits carbone au monde », a-t-il rappelé avant de souligner la responsabilité du secteur privé face aux défis environnementaux.

Dix entrepreneurs présentent leurs solutions durables

Plus tôt dans l’après-midi, le Souverain avait participé à une rencontre à la Fondation Armando Alvarez Penteado. L’événement réunissait des étudiants en art, économie et droit ainsi que de jeunes entrepreneurs venus présenter leurs solutions innovantes couvrant la restauration écologique des forêts avec Morfo, la conservation de la biodiversité via Amazon Research International, l’accès à l’eau potable avec Aguacamelo et Piipee, l’alimentation durable grâce à MicroTERRA et Nanofreeze, les fibres textiles durables de Phycolabs, la justice climatique portée par Yanuni et la résilience des territoires avec RegeneraRS.

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© Palais Princier

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© Palais Princier

Le Prince Albert II a déclaré : « L’innovation durable n’est plus un choix. C’est une nécessité. Elle est la clé pour bâtir des économies résilientes, capables de faire face aux crises tout en respectant les limites de notre planète. La communauté scientifique continue de nous alerter avec des preuves claires, cohérentes et irréfutables. Pourtant, nous peinons encore, collectivement, à écouter, à accepter et à agir. »