Brève

Charles Leclerc signe encore une belle performance au Mexique

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Le jeune pilote monégasque Charles Leclerc, brillant septième au Mexique, confirme les espoirs placés en lui. La saison prochaine, il rejoindra Ferrari.

Septième au Grand Prix du Mexique, disputé le 28 octobre, Charles Leclerc a encore impressionné. Le Monégasque avait chaussé ses pneus dès le 13e tour, des supertendres neufs, privilégiant une stratégie à un arrêt. Un choix audacieux qui lui a permis de signer, lors des dix derniers tours, des temps de passage proches de ceux des leaders, Max Verstappen et Sebastian Vettel.

Excellente opération pour Sauber

Si Leclerc n’a rien pu faire face aux Renault – Carlos Sainz a abandonné mais Nico Hülkenberg s’est classé quatrième -, il a fini loin devant le reste du peloton. Stoffel Vandoorne, huitième, a été relégué à plus de 20 secondes. Protégeant sa position mais devant gérer ses pneus, le Monégasque a cependant du bataillé pour conserver sa septième place, Sergio Pérez prenant l’avantage avec des pneus plus frais. Mais la Force India du Mexicain a été contrainte à l’abandon par des problèmes de freins. Une excellente opération pour Sauber qui, avec les points marqués, gagne une place au championnat des constructeurs et chipe la huitième place à Toro Rosso (36 points contre 33).

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« C’est énorme, surtout pour l’équipe, parce que cela représente beaucoup d’argent pour l’équipe et pour le développement. La bataille n’est pas gagnée, il reste deux courses. Nous devons nous assurer qu’ils restent derrière. J’espère que nous y parviendrons », a réagi celui qui reprendra le baquet de Kimi Räikkönen chez Ferrari lors de la prochaine saison.

Une saison qu’il débutera aux côtés de Sebastian Vettel, sans pression excessive. « L’année prochaine, Charles doit gagner de l’expérience et apprendre de Sebastian (…). Il a le luxe de pouvoir se contenter d’une saison où il ne lui sera pas demandé autre chose que de ramener sa voiture à l’arrivée. Il doit absorber les efforts de Vettel comme une éponge », a ainsi indiqué le patron de la Scuderia, Maurizio Arrivabene, au journal « La Repubblica ».