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Brève

Le tourisme du futur passe peut-être par l’écoresponsabilité

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Direction de la Communication - Michael Alesi

Une solution magique tout aussi bonne pour la planète que pour les clients.

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Quel tourisme pour demain ? La question était au cœur de la Conférence annuelle de la Direction du Tourisme et des Congrès qui s’est déroulée lundi 17 octobre.

A Monaco comme dans le monde entier, le tourisme s’est retrouvé bousculé par la pandémie de Covid. Le secteur du tourisme, et plus particulièrement du tourisme de luxe et d’affaires, doit, à présent, explorer de nouvelles pistes pour répondre au mieux aux besoins de la clientèle.

Organisé par la Direction du tourisme et des Congrès (DTC), l’évènement a réuni les professionnels du tourisme, les bureaux de promotion de la DTC à l’étranger mais aussi le Ministre d’Etat, Pierre Dartout, et le Conseiller de Gouvernement-Ministre des Finances et de l’Économie, Jean Castellini.

Le tourisme responsable, la solution à tout

Selon l’assemblée, le tourisme durable devient la priorité sur laquelle il faut se focaliser, notamment à travers une innovation forte. Les touristes sont de plus en plus soucieux de leur impact sur l’environnement. Panos Tzivanidis, directeur du Département des événements et services institutionnels du Comité International Olympique le confirme : « nos clients restent plus longtemps sur place et font plusieurs destinations au lieu d’une seule afin de réduire l’empreinte carbone. »

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En plus de répondre à l’urgence climatique, le tourisme durable propose une nouvelle manière de voyager, en proposant des expériences. De plus en plus demandées par les jeunes, les nouvelles offres s’opposent aux anciennes, plus superficielles. « Les clients ne veulent pas juste de belles chambres, ils veulent des expériences. Dans nos agences de voyages, les milléniaux nous poussent à repenser notre offre afin d’aller au-delà de l’existant » atteste Gabriel Donida, Fondateur d’Atelier Voyage.

Pour opérer cette transition, Panos Tzivandis encourage à « donner le pouvoir aux jeunes. Les jeunes savent d’office des choses que nous essayons de planifier. Les jeunes sont nés avec la notion de durabilité. »